L’interrogation qui est la base de toute compréhension concernant notre corps finalement.
Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’on aurait tendance à sur-simplifier cette compréhension : j’ai une angine = maladie. J’ai de l’eczéma = maladie. J’ai de l’arthrose = maladie. Et on traite cette maladie.
Mais la vraie question ne serait-elle pas « pourquoi ? ». J’ai une angine = pourquoi ? Je ne traite pas une angine, je traite la raison pour laquelle j’ai cette angine. Ce qui permet de savoir aussi comment faire pour qu’elle ne revienne pas.
Lorsque Pasteur découvrait les microbes, il était normal à l’époque de pouvoir pensé que le microbe était l’ennemi, il nous était étranger, il ne faisait pas partie de nous. Point.
Maintenant, cette vision simpliste ne peut plus résister à la recherche scientifique toujours plus performante : nous savons aujourd’hui que nous sommes couverts (et remplis) de microbes. Et qu’en plus, ils sont nos amis car sans eux, nous ne pourrions survivre.
Alors pourquoi sommes-nous encore prêts à nous jeter sur des antibios à la moindre douleur ? Avons-nous perdu notre capacité ET de réfléchir ET de supporter l’inconfort passager ? Nous nous sommes en tout cas laissés envahir par la peur, celle de mourir au moindre microbe qui passe.
Vous l’aurez compris, pour moi ce qu’on voit aujourd’hui comme une maladie est plutôt pour moi un symptôme et doit être compris comme tel si nous voulons stopper cette spirale de peur et de dépendance dans notre santé.
Prenons l’exemple basique d’un rhume : nez qui coule, toux, fièvre… Tout pour évacuer les toxines, nettoyer le corps, et la fièvre qui nous coupe toute envie de manger pour arrêter l’encrassement. Si nous écoutons notre corps (pas à coup de Paracetamol), nous allons nous reposer et arrêter de manger -> énergie pour le nettoyage. D’autre part, cela met en avant certainement une fatigue des autres portes de sortie, en particulier des intestins/foie (vrai problème dans notre société constipée -> rappelons qu’un repas = une selle donc pour ceux qui en font 3 par jours, vous devriez avoir 3 selles. Et grâce à des techniques tout à fait naturelles, nous pouvons stimuler la sortie de nos toxines donc augmenter la rapidité et l’efficacité du nettoyage.
Et voilà, une maladie qui se transforme symptômes : surcharge en toxines -> le corps qui essaye de nettoyer par là où il peut. Et en plus, cela nous donne une compréhension non seulement de l’état d’encrassement de la personne mais aussi, son niveau d’énergie !
Et on n’oublie pas les messages émotionnels !! Bref, encore plus d’informations pour mieux se connaitre et mieux se comprendre !!
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